Le
mot échec fait peur, fait trembler, il hante les esprits, il divise les
familles, et créé les séparations.
Presque
chacun a peur d’échouer, peur d’être marginaliser après un échec. Cher(e), ami (e), stop !, tu as assez souffert
comme cela, cesse de te marginaliser, te culpabiliser, de se détruire les
méninges. L’échec n’est pas une fatalité comme l’Homme ordinaire le chante.
L’échec
est un outil de succès, de réussite, de progrès, de développement et
d’innovation. Sans échec, il y’a pas d’évolution, ni perfection. Après chaque
échec, arrêtes-toi un instant et vérifies si tu as respecté la discipline de
ton activité. (Avant d’avoir toute
considération karmique, spirituelle, ou de sorcellerie).
La
nature évolue au fil des échecs, l’Homme grandit mûri et se perfectionne au fil
des échecs. Rien n’est acquis.
L’échec
positif a pour fondation le travail,
l’engagement actif, l’amour, la responsabilité, l’humilité, et le goût
continuel d’apprendre.
L’échec négatif a pour fondation
l’oisiveté, la paresse, la jalousie, l’irresponsabilité, le fatalisme.
Par TAATJENE Thomas ; Offert le moteur de recherche de l’économie
numérique: https://connectikpeople.blogspot.com
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